Votre panier est actuellement vide !
Lunettes contre le mal des transports : une solution prometteuse pour retrouver la mobilité

“Je pensais que ça durerait toute ma vie” : Bernard découvre enfin comment lutter contre le mal des transports en voiture
Le mal des transports, souvent considéré comme un simple désagrément passager, peut vite devenir une véritable contrainte sociale et personnelle. Bernard Leconte, 48 ans, a longtemps souffert en silence lors de ses voyages en voiture, découvrant progressivement que la solution pouvait se trouver… dans une paire de lunettes peu communes.
Un trajet qui tourne au cauchemar
Bernard se souvient parfaitement de ce dimanche d’avril 2025 où sa famille l’a invité pour un déjeuner à Chartres. « Je montais dans leur voiture avec un sourire, prêt à profiter de la journée », raconte-t-il. Mais quelques kilomètres plus tard, le mal des transports l’a frappé de plein fouet. « Les nausées ont commencé, suivies de vertiges terribles. J’ai dû m’arrêter, ne pas reprendre la route pendant des heures. »
Ces épisodes ne sont pas rares dans la vie de Bernard. Depuis l’adolescence, il évite autant que possible les longs trajets en voiture. « Ce n’est pas juste un petit mal de ventre, c’est un mal de tête intense, une fatigue complète. Je devais apprendre à vivre avec ça. »
Quand le quotidien se restreint à cause du mal des transports
Pour Bernard, ce problème a eu un impact profond sur sa vie sociale et professionnelle. « Parce que je ressens ces symptômes dès que la voiture bouge un peu trop, j’ai évité les sorties, les visites chez mes parents qui habitent à une heure de route… » Il parle avec un token mélange d’amertume et de soulagement : « Je pensais que c’était quelque chose d’ineffaçable, que je devais juste gérer. »
Les consultations chez divers spécialistes n’ont pas toujours apporté des solutions claires. Certains médecins ont évoqué des troubles de l’oreille interne, d’autres un conflit sensoriel entre ce qu’il voit et ses sensations d’équilibre. Mais aucun traitement concret n’avait réellement fonctionné, laissant Bernard avec ses lunettes ordinaires, impuissant face à ses crises.
La naissance d’une idée : les lunettes contre le mal des transports
En cherchant de nouvelles solutions à son mal-être, Bernard tombe en mai 2025 sur un article dédié au « Boarding Glasses », des lunettes spécifiquement conçues pour soulager le mal des transports. Intrigué, il décide d’en commander une paire.
“Ces lunettes, c’est une véritable révolution. Elles intègrent un système imitant l’équilibre de l’oreille interne. Dès que vous commencez à ressentir les premiers symptômes, vous les mettez, et quelques minutes après, tout revient à la normale.”
Le concept repose sur la synchronisation des informations visuelles et vestibulaires (mécanismes liés à l’équilibre). Ces lunettes intègrent un niveau de liquide dans leurs verres, simulant la position horizontale, ce qui réconcilie ce que perçoivent les yeux avec ce que ressent l’oreille interne. En pratique, cela réduit le fameux conflit sensoriel à l’origine du mal des transports.
Un système simple, des résultats probants
Bernard raconte son premier essai en juin 2025, sur un trajet vers la Normandie. « J’ai attendu d’avoir ses premières nausées, puis j’ai porté les lunettes. En dix minutes, tout est rentré dans l’ordre. C’est incroyable. » Depuis, il n’hésite plus à les utiliser dès qu’il sent le mal pointer le bout de son nez.
Son épouse Julie confirme : “La différence est flagrante. Bernard est moins stressé, plus serein dans la voiture. Il profite du voyage, et nous aussi.”
Mais un parcours semé d’obstacles administratifs et d’informations confuses
Bernard n’a pas abandonné l’idée de rendre ces lunettes plus accessibles, notamment via la sécurité sociale ou certains réseaux d’aides médicales. Or, il s’est heurté à plusieurs portes fermées.
« On m’a expliqué que ces lunettes ne sont pas considérées comme un dispositif médical remboursable, même si elles aident à prévenir un véritable handicap temporaire. » Selon lui, un problème de reconnaissance claire par les autorités sanitaires persiste. “Tout est encore trop flou pour que les assurances santé les prennent en charge.”
Plusieurs professionnels interrogés expliquent que la confusion entre lunettes correctrices, lunettes spéciales (comme celles à trous souvent utilisées pour les exercices visuels) et vêtements médicaux empêche une prise en charge rapide. De plus, il existe une méconnaissance des solutions contenant des niveaux de liquide simulant l’équilibre vestibulaire, un traitement innovant peu répandu.
Un problème encore trop méconnu : des diagnostics erronés et des solutions inadaptées
Bernard confie aussi que la plupart des personnes souffrant du mal des transports ne savent pas vraiment où chercher de l’aide ni à quel expert s’adresser. « On m’a parfois conseillé des lunettes à clair, ou encore des médicaments qui n’ont pas fonctionné. »
La confusion entre les symptômes — maux de tête, picotements oculaires, douleurs cervicales — et leurs causes complique le diagnostic. « Tous ces aspects devraient être mieux expliqués en consultation, avec des recommandations précises sur qui consulter et quels équipements essayer », reprend-il.
Les lunettes “Boarding Glasses” ne sont qu’un exemple d’une série d’outils pratiques
Selon Anne-Marie Dufour, opticienne spécialisée dans les troubles visuels liés au mal des transports basée à Tours, “Le port de lunettes adaptées au mal des transports, pour certains patients, représente un vrai soulagement. Mais il faut que ces outils soient bien choisis selon le type et la gravité des symptômes.”
Elle insiste aussi sur la nécessité d’un suivi personnalisé : “Un bilan visuel complet, des tests vestibulaires, et une prise en charge multidisciplinaire sont souvent indispensables.”
Ce que vous pouvez faire si vous souffrez du mal des transports en voiture
Vous vous reconnaissez dans le parcours de Bernard ? Voici quelques conseils et ressources utiles :
- Identifiez vos premiers signes : nausées, vertiges, maux de tête ou brûlures oculaires sont souvent les premiers symptômes. Dès les ressentir, envisagez un arrêt ou une pause.
- Consultez un professionnel : un médecin généraliste, ORL, ou un ophtalmologiste peuvent aider à poser un diagnostic précis et exclure d’autres causes.
- Envisagez des lunettes adaptées : renseignez-vous sur des modèles spécifiques comme les « Boarding Glasses » conçues pour rééquilibrer les informations sensorielles. Certaines boutiques spécialisées ou sites comme Au Vieux Campeur proposent ces équipements.
- Demandez un bilan vestibulaire : ce test mesure l’état de votre système d’équilibre et est essentiel pour identifier la cause exacte de vos troubles.
- Informez-vous sur les aides : même si pour l’instant ces lunettes ne sont pas remboursées, les associations de patients ou mutuelles santé peuvent avoir des programmes d’aide.
- Anticipez vos trajets : si possible, privilégiez des trajets courts, faites des pauses régulières, évitez la lecture ou l’écran durant le voyage.
- Testez différentes solutions : des médicaments contre le mal des transports, des exercices visuels, ou encore des techniques de respiration peuvent compléter l’usage des lunettes.
Vers un futur où le mal des transports ne freine plus nos déplacements
Bernard Leconte termine notre entretien en partageant un message d’espoir : “Je veux encourager toutes les personnes concernées à ne pas se laisser enfermer par cette condition. Il existe des solutions, parfois simples, qui peuvent considérablement améliorer la qualité de vie. L’important, c’est de ne pas abandonner la recherche.”
Comme Bernard, de plus en plus de personnes découvrent que porter une paire de lunettes différente en voiture ne relève pas de la simple coquetterie mais peut être une véritable clé pour se libérer du mal des transports.
Si vous souhaitez en savoir plus, certaines associations proposent des groupes d’échanges et des essais de lunettes spécifiques pour prévenir ou soulager ce mal bien réel et trop souvent banalité.
✍️ Partagez votre expérience avec Côté Optique, votre avis en 2 minutes peut aider des milliers de personnes !
Laisser un commentaire